Nous nous permettons de remettre en ligne telle une piqure de rappel le livre: "L'honneur d'un colonel de l'Algérie à Kolwezi" écrit par Arnaud Erulin aux éditions "Pierre de Taillac" (disponible sur Amazon au prix de 22euros90).
L'ensemble des droits d'auteur générés par les ventes de cet ouvrage seront versés à la FSALE.
Mai 1978 – Kolwezi (ex Zaïre)
Des rebelles katangais prennent le contrôle de la ville et retiennent des otages. Des massacres commencent… Devant l’urgence, le président Valéry Giscard d’Estaing déclenche l’opération Bonite.
Sans préavis, sans appui au sol, sans possibilité de renforts et avec des renseignements « rares et imprécis », le 2e régiment étranger de parachutistes reçoit l’ordre de sauter sur Kolwezi.
Le colonel Philippe Erulin et ses hommes n’ont qu’un objectif : sauver les otages. Grâce aux notes personnelles du chef de corps du 2e REP, à des archives familiales et inédites, cet ouvrage plonge le lecteur au cœur de l’opération,
Mot du général Jean Maurin, président de la FSALE àprès la réception du livre:
Votre livre est un merveilleux vecteur pour perpétuer la mémoire de monsieur votre père, figure illustre des légionnaires parachutistes. Je viens d'en effectuer la commande, et compte bien figurer parmi les 100 premiers qui auront commandé le livre !
Je vous remercie vivement pour votre intention de reverser vos droits d'auteurs à la FSALE. Toute la FSALE et moi-même y sommes très sensibles. Je mets en copie de ma réponse le général Henry Clément-Bollée, vice-président de la FSALE, le colonel (ER) Jean Habourdin, directeur général, et le colonel (ER) Jean-Paul Blanchard, trésorier de la FSALE, le Chef de bataillon (er) Christian Morisot, en charge de la communication de la FSALE, et qui pourra diffuser sur notre site de la FSALE le communiqué de presse joint . De même que mon frère Emmanuel Maurin, président de l'Amicale des anciens légionnaires parachutistes.
Je vous félicite pour votre engagement, et vous remercie encore pour votre soutien à la FSALE. J'étais à La Flèche avec votre frère Patrice, nous n'étions pas dans la même classe, mais nous nous retrouvions bien souvent !
Avec l'expression de ma fidélité légionnaire.
Bien à vous,
Jean Maurin.