Un rêve difficilement réalisable: être un empêcheur de désespérer en rond...
Mais pour réussir ce non-exploit, malgré tout, il me faudra faire abstraction de mes opinions sur le spectacle que nous offert la future élection présidentielle et trancher la morosité générale actuelle. Un vilain mal-être s’installe et donne le sentiment collectif de décomposition de notre société, engrenage d’un mécanisme dont le mouvement s’inspire et s’imprègne des grandes évolutions sociales de demain.


Nous sommes dans un « monde marchandise » que renforce, l'aliénation à l'image télévisée et l'endoctrinement d'une presse que renforce l’idée d’enfermement dans des structures de pouvoir et de ce qui en résulte.
Rassurez-vous, je me garde bien de faire avec ces propos « de la Politique », cela ne saurait être de mise.
Mais enfin que manque-t-il ? Où allons-nous ?
Mon propos serait mal venu s’il se contentait de ne présenter qu’un constat ou de discutailler, surtout en ce moment ! Non, je souhaite tout simplement, procéder à un partage d’idées.
Je ne peux me résoudre à subir le «didakt» des grands penseurs libéraux, hommes élus, apôtres de notre société d’abondance !
J’écoutais dernièrement un écrivain pessimiste, (définition du pessimiste : un optimiste expérimenté), qui disait : « avec son cortège de chômage et de précarité, les hommes d’aujourd’hui ont réussi l’exploit de faire le grand mal du monde industrialisé ».
La Légion peut assurément avoir son mot à dire. Elle a parfaitement compris, avant d’autres, que le lien social se construit par le bas. Sa force vient des légionnaires eux-mêmes. Nos amicales sont de fidèles exemples de ce que peut faire une association, avec un programme de modernité lié aux contacts, aux bénévoles, à la générosité, à la relation entre individus.
En clair, l’homme peut être une source extraordinaire de développement si la valeur et le respect de l’humain deviennent le ressort majeur des moyens mis en œuvre.

CM