Suite à une invitation du chef de corps, le Colonel Nicolas Meunier, les Cavaliers du 1er Régiment Etranger de Cavalerie invitaient le mardi 21 mai 2021, les Anciens des AALE d'Aubagne et du Vaucluse venus accompagnés de leurs Epouses.

Journée très dense qui débutait par l’accueil du chef de Corps, du Commandant en second et de l’Officier Supérieur Adjoint autour d’un petit déjeuner précisé « continental. Le programme se déroulait en salle d’instruction où le colonel Meunier présentait, de main de maître, un exposé dit « dynamique et réaliste » ponctué de projections videos prises directement sur le terrain lors d’actions spécifiques de la mission de son régiment au Mali.

En fin de matinée, après une visite de la nouvelle salle des archives et avant de se retrouver tous dans les jardins du mess des officiers de la Commanderie pour l’immuable pot traditionnel ; les deux présidents des Amicales, le major (er) Cristobal Ponce y Navarro et le capitaine (er) José Gil, remettaient au chef de corps et a son épouse Marie-Servan, les traditionnels cadeaux qui affichaient le thème de la Provence ensoleillée à l’image de cette magnifique journée.

A l’issue, un déjeuner  de cohésion fut partagé avec les officiers, sous-officiers et légionnaires cavaliers à la Commanderie ; il précédait une « visite digestive » effectuée en salle d’honneur avant l’accueil des brigadiers-chefs, tous heureux d'accueillir leurs Anciens au sein de leur domaine et occasion opportune de présenter les nouveaux aménagements de leur jardin ombragé, mais aussi et surtout, de leur nouveau terrain de boules qui laissait, à ne point douter, la perspective de beaux et fraternels tournois.

Journée trop vite passée à l’image des plus beaux éclairs de nos belles saisons, les Anciens légionnaires ont appréciés à sa juste mesure l’élan de solidarité et la fraternité de leurs camarades en activité de service, qui ont fait une belle démonstration d’un savoir faire exemplaire quant à la qualité d’accueil qu’agrémentait à souhait leur belle manière délicatement cavalière…

Un mot s’impose sans nécessité de développer : MERCI !