Une Amicale d’Anciens légionnaires doit programmer chaque année, une Assemblée Générale (AG), un rassemblement important d’une partie de ses membres afin de prendre des éventuelles décisions et de procéder à l’examen des activités qui se sont déroulée depuis la dernière A G.
C’est selon ce principe que s’est déroulée le dimanche 13 octobre 2019 à Ennezat 63720 (ville de retrait du général (2s) Maurice de Montlebert), dans une salle proposée par la Mairie, l’Assemblée Générale de l’Amicale des Anciens de la Légion Etrangère du Puy-de-Dôme (63).
Une précision s’impose: Cette AG devait, entre autres sujets à traiter, mettre en concordance et en accord de principe, les trois amicales Auvergnates quant au déroulé et lieu de la prochaine commémoration du combat de Camerone qui était, pour l’année 2020, organisée précisément par l’Amicale 63. L’absence regrettable de représentant de l’AALE de l’Allier n’a cependant pas empêché de prendre les bonnes orientations et décisions qui feront l’objet d’un communiqué inscrit au PV du compte rendu de cette présente AG.
Ainsi donc, à 10h30 précises, après le bon « quart d’heure réglementaire du caporal », le président Gérard Roux demandait d’appliquer la « minute de silence » à la mémoire des décédés de l’année, il poursuivait par l’énumération des activités auxquelles participa l’Amicale 63, de la date de la dernière AG à ce jour.
Suit alors le déroulement normale de toute AG avec la recherche incontournable des « Quitus » qui furent accordés à l’unanimité des membres présents.
L’officier communiquant de la FSALE, le chef de bataillon (er) Christian Morisot apporta un éclaircissement concernant un bon nombre de sujets qui touchaient l’ensemble de la communauté légionnaire et le délégué régional, le général (2s) Pascal Néron-Bancel pris la parole pour un débat libre touchant plusieurs "cas délicats" qui demandaient une information et pour certains, une prise de position sans ambiguïté…
La réunion se termina par une conclusion de bon aloi par le Président.
Une photo dite de « Famille » immortalisait l’instant présent avant que tous se retrouvaient au restaurant « le Cantou » pour un traditionnel déjeuner, convivial, fraternel et amical où ne manquèrent pas d'être entonnés les chants légionnaires sans lesquels une réunion de légionnaire ne serait point ce qu’elle se doit d’être et surtout, ne saurait être de mise.