Il est très délicat pour un ancien directeur de l’Institution des Invalides de la Légion Etrangère de parler de cette mission à la tête de la direction de cette noble institution, haut lieu de la solidarité légionnaire.

Nul ne peut s’attendre à ce qu’il y trouvera tant les situations sont variées et souvent inattendues, il est tellement vrai que, parfois, le sentiment de solitude domine face à un évènement délicat, difficile à gérer, toujours lié à un problème de santé d'un ou plusieurs pensionnaires.

Le vendredi 12 janvier 2018, le “nouveau” directeur prenait place, l’aventure continuait, il est toujours émouvant de voir les pensionnaires réagir en accueillant chaleureusement leur “nouveau patron”; timidité et discrétion aidant, n’est-il point vrai de dire: “Qu’on sait ce que nous perdons, mais on ne sait pas toujours ce que nous gagnons…” une chose est certaine et reste la règle d'or, le “nouveau” ne peut être vraiment mauvais, puisque la dominante des qualités qu’imposent cette fonction est, avant tout, une gentillesse naturelle et une bienveillante considération accordée aux plus faibles d'entre nous.

 

Les directeurs dans l'ordre de leur prise de fonction.

 

Bon vent au lieutenant-colonel Gilles Normand, pour cette lourde tâche passionnante.

Nos pensées et meilleurs souhaits l’accompagnent.